Kolar Vavassori - Wimbledon 2022

5 30 Rublev A 5 40 Arnaldi M 5 7 0 40 Danilovic O 6 5 6 30 Vekic D 4 30 Todoni A 2 40 Barthel M 5 00 Raina A 5 15 Aiava D 0 00 Chwalinska M 1 30 Joint M 4 3 6 00 Serban R 0 6 2 30 Feistel G 3 15 Primorac I 5 15 Palicova B 5 3 00 Aksu A 3 6 40 Radivojevic L 4 4 30 Wenger D 3 6 15 Sakamoto R 0 2 6 15 Gimeno Valero C 2 6 3 00 Domingues J P.Kotov starting soon... J.Sinner Dnes I.Swiatek at 15:00 M.Bouzkova

Wimbledon 2022 - Q 3. kolo

Finished - 03:32

Kolar, Zdenek [4]

6⁴

6⁵

Vavassori, Andrea

6⁵

Court 16

All

Kol

Vav

Reduce

Winner shots

Unforced errors

Esa

Dvojchyby

První podání

Vyhrané body po prvním podání %

Break point saved

Vyhrané body na příjmu %

Prolomená podání soupeře

Vyhrané body %

Čisté hry

Setboly

Mečboly

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Zdenek Kolar

Andrea Vavassori

Věk

183cm

Výška

191cm

79kg

Váha

80kg

289

Pozice

170

-108

Past 6 months

-2

Vzájemné zápasy

Vše

Tráva

Poslední výsledky

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Qualifié pour le troisième tour, Sinner avance confiant : “Je suis prêt pour la suite” Jannik Sinner réalise un début de tournoi très solide. Arrivé à Paris dans le doute, non pas en raison de ses résultats toujours aussi prodigieux, mais plutôt à cause de son état physique. Gêné à la hanche (forfait à Rome avant Roland-Garros), il avouait lui-même ne pas savoir exactement où il en était. Après un premier tour solide, il a parfaitement enchaîné, tombeur avec la manière de Richard Gasquet (6-4, 6-2, 6-4). Sans forcément jouer son meilleur tennis et en traînant parfois la patte, notamment sur les courses vers l’avant, le Transalpin impressionne quand même. Revenant sur sa victoire du deuxième tour, il explique : “Il y avait une bonne ambiance. Je me sentais mieux aujourd'hui que lors de mon premier tour. C'était spécial de jouer contre Richard Gasquet chez lui, devant son public. Le public a d'ailleurs été très fair-play, je dois le remercier. Je suis prêt pour la suite. C'était un jour très positif.” Questionné sur ses chances de devenir numéro 1 mondial en fin de tournoi, Sinner a expédié le sujet : “Est-ce que je pense à la place de numéro 1 ? Non, nous verrons... Je me concentre simplement sur mes matchs et mes adversaires. Je suis heureux comme ça” Pour rejoindre la deuxième semaine, il lui reste encore un obstacle à franchir ce vendredi : Pavel Kotov, l’une des valeurs montantes du circuit masculin. Un adversaire qui, sur le papier, ne devrait pas lui poser trop de difficultés, comme en témoigne son succès sur le même Russe à Madrid (6-2, 7-5). Cela dit, les conditions de jeu parisiennes semblent bien mieux correspondre à Kotov et le numéro 2 mondial devra donc se montrer vigilant.

Van de Zandschulp s’avoue désespéré : “Je ne sais pas si je vais poursuivre ma carrière” Bottic Van de Zandschulp n’y arrive plus. 22e mondial à l’été 2022, il ne fait même plus partie du top 100 mondial. Finaliste à Munich en 2023, le Hollandais ne semble avoir jamais vraiment réussi à digérer cette défaite. Alors qu’il ne s’est pas adjugé le moindre titre en carrière, Van de Zandschulp avait tout pour réussir à Munich, l’an passé. S’offrant 4 balles de titre, il avait finalement coincé, laissant Holger Rune repartir avec la couronne (6-4, 1-6, 7-6). Depuis lors, le joueur de 28 ans vit une panne de résultats absolument dingue. En effet, depuis Munich 2023, il n’a remporté que 19 victoires en 49 matchs disputés (hors qualifications et tournois Challengers). À Roland-Garros, il n’a pas réussi à redresser la barre. Opposé à un Fabio Fognini toujours aussi talentueux, il s’est révélé étonnamment impuissant (6-1, 6-1, 7-5). Interrogé en conférence de presse, l’actuel 104e joueur mondial s’est montré très alarmiste, allant même jusqu’à évoquer une potentielle retraite anticipée : “C’est le pire match de ma vie. Je ne sais pas si je vais poursuivre ma carrière. J’en doute vraiment. Je pense à arrêter. Il s’est passé beaucoup de choses l’année dernière, y compris en dehors du court. Je pense qu’il faut s’amuser dans tout ce que l’on fait. Bien sûr, tout le monde a des jours moins bons, mais quand ils deviennent trop nombreux, il faut se poser des questions.”

Sans filtre, Alcaraz ne se cherche pas d’excuses : “C’est moi qui suis responsable des hauts et des bas” Carlos Alcaraz n’est pas le joueur le plus impressionnant de ce début de tournoi. Bien que qualifié pour le troisième tour, il n’a pas pleinement convaincu. Opposé au qualifié Jasper De Jong (176e), l’Espagnol a eu besoin d’un peu plus de 3h pour s’en sortir (6-3, 6-4, 2-6, 6-2 en 3h10). Bousculé en retour (5 breaks concédés) et alternant le bon et beaucoup moins bon (35 coups gagnants, 47 fautes directes), le numéro 3 mondial va devoir faire beaucoup mieux s’il veut viser le sacre final. En conférence de presse, il n’a d’ailleurs pas tenté de noyer le poisson. Très franc, il a reconnu avoir connu un jour assez moyen et ne s’est pas caché derrière sa gêne au bras droit. Ainsi, il a expliqué : “Mon bras va bien. Oui, les conditions humides m'ont fait peur quant à la réaction de mon bras. C'est moi qui suis responsable des hauts et des bas de ce match, pas mon bras.” Revenant sur le match, il a mis en exergue la qualité de jeu de son adversaire, très agressif, tout en reconnaissant les difficultés rencontrées durant le match : “Je ne l'avais pas beaucoup vu en matchs ou à l'entraînement et c'est la première fois que je jouais contre lui. Je crois qu'il mérite son classement à l'ATP et son niveau de tennis m'a impressionné. Il a vraiment bien joué. S'il continue sur cette lancée, je crois qu'il va aller très loin et rentrer dans le top 100. Il a commencé à mieux jouer mais c'est vrai que moi, j'ai eu des hauts et des bas dans le match. J'ai bien joué au premier et au deuxième set, puis j'ai eu un peu de mal. Lui est monté en puissance, a augmenté la vitesse de ses balles. Il ne me laissait pas entrer dans le rythme et a vraiment dominé la plupart des points du troisième set. J'ai dû me battre pour revenir, surmonter des problèmes au service, mais je suis content d'avoir gagné.”

Vidéo - Rinderknech se blesse en tapant dans une pancarte publicitaire à Roland-Garros Ces images vont probablement faire le tour du monde. Le Français Arthur Rinderknech a été contraint à l'abandon (3-6, 7-6, 6-1, 5-0), jeudi soir au 2e tour de Roland-Garros, après s'être blessé lui-même au gros orteil en tapant dans un pancarte publicitaire fixée sur le mur du bord du court (voir vidéo ci-dessous). Il était alors mené 2-0 en début de 4e manche. Avant cela, il avait mené 2 set à 0 face à l'Argentin Tomas Martin Etcheverry, mais il ne parvenait plus à trouver la solution depuis le début de la 3e manche. Situation qui a généré sa frustration et les conséquences qui ont suivi.

Rinderknech : "J'ai juste déconné, j'ai tapé dans le mur" Arthur Rinderknech a été contraint à l'abandon après avoir mené 2 sets à 0 face à Tomas Martin Etcheverry (3-6, 7-6, 6-1, 5-0). Le Français s'est blessé lui-même au gros orteil du pied gauche en tapant dans une pancarte publicitaire pour évacuer sa frustration (voir vidéo ci-dessous). Il l'a expliqué sans se défiler en conférence de presse d'après-match. Arthur Rinderknech : "Je me sens très bien physiquement mais j'ai juste déconné. J'ai tapé dans le mur, un peu d'agacement, à 2-0, quand j'ai été breaké au quatrième set. Et je ne sais pas trop, à l'heure actuelle, mais j'espère que je ne me suis pas fracturé l'orteil. Après, je n'arrivais plus à poser le pied par terre..."