Non, pas de celles dont l'occident nourrit ses commerces,
C'est le dernier endroit sur Terre où la vie vous caresse.
Y-en-a-t-il parmi vous que cela intéresse?
Sur mon île, il n'y a pas d'emplois,
Aucun patron, aucun magistrat,
Les lois, la police n'existent pas,
Non, sur mon île, on ne travaille pas.
Maint'nant, à chacun, son paradis,
A chacun, son idéal de vie
Le cours des bourses chute, et coulent toutes vos filliales,
Le temps est couvert sur votre si puissante capitale.
Mais le micro-climat de mon île tropicale,
Est propice à la croissance de mes plantes médicinales.
Quand 6h30 sonne pour vous le glas,
D'une longue journée, d'un travail qui n'en finissait pas.
Je me repose, je me détend,
Et me laisse bercer par le bruit de l'océan.
Loin de tout,
Loin de vous,
Pendant quelques années.
Des cascades bleues d'eau claire et de perles nacrées.
J'irais cultiver ma peine en Terre Sacrée.
me reposer sur des beats balancés,
Posés puis reposés.
Parcourir les allées,
les chemin, les sentiers,
Les grandes places de la vie,
J'en connais pas la moitié.
Me transporter,
Si loin que je ne pourrais plus mater
La pluie caresser les rues et leurs pavés.
En somme je veux quitter l'ambiance de Paname,
Capitale sympathique pour étudiants à la trame.
Mais après c'est la grisaille qui reprend le dessus
La pluie sur son nuage,
le soleil nous a déçu.
On veut courir vers notre avenir,
Nager dans nos souvenirs.
Montaigne est une meilleur référence , à mon avis, c'est un des premiers à avoir mis en exergue les vertu des "Sauvages".;)